Mon équipe se fera un plaisir de vous retrouver sur le "champ de la vie et de la mort", pour une confrontation virile (marre de jouer contre des amazones moi ! ) mais néanmoins empreinte de courtoisie (Oui, on dit pardon lorsqu'on arrache par inadvertance la mâchoire ou la rate de son adversaire chez les nains... bon sauf si c'est un Orque ou un elfe mais c'est pas pareil... c'est à cause de l'arrière arrière arrière arrière grand père qui s'était fait marcher sur le pied par un elfe un jour, et même que l'elfe lui avait dit : Oh je vous avais pas vu ! Ils l'ont bien cherché ! Enfin bref je m'égare je sais plus où j'en suis ! Ah oui...). Donc je vous prie de me donner vos dispositions actuelles pour que nous célébrions encore une fois, cette presque amitié qui unie nos deux races. J'ai toujours dit d'ailleurs, que si vous n'étiez pas si grands, chétifs et que vous vous laissiez pousser la barbe (vos mâles ça passe encore mais la plupart de vos femelle sont complètement imberbes ! ), on pourrait faire quelque chose de vous... enfin pour ceux d'entre vous qui ne se croient pas obligé de vomir dés qu'ils boivent plus d'une barrique de bière, évidement.
Bertha.
Un commis ayant expliqué à Bertha que pour d'obscures raisons de pots de vin mal placé et d'affiche hors de porté, le tueur de troll qu'elle avait envoyé chercher l'affiche du calendrier s'était arrêté à la buvette sur le chemin, et qu'il avait malencontreusement salit la dites affiche après s'être essuyé les mains avec. Le problème était que le tueur de troll n'avait pu que déchirer la partie basse de l'affiche...
Bref ce bon commis ayant réparé le malentendu, elle soupira. Tant pis pour les humains, ses joueurs devraient se mesurer à ceux qui avait certainement par tricherie éliminé ses bons amis les Drunkars. Elle serra les dents et prit sa plume :
Bonjour mes chers amis, (quand on a ce genre d'amis, ce n'est pas la peine d'avoir des ennemis... )
Je vous saurai grés de me fixer un rendez vous pour que nous reprenions ensemble la conversation qui a si mal tourné entre mes vaillants ancêtres et vos couards et hypocrites parents. Bien entendu pour que cette conversation se passe dans la meilleure des ambiances, il convient que vous arrêtiez de vous défilez et que vous combattiez franchement mais je doute que vous ayez rompu avec vos mesquines traditions.
En attendant le jour heureux du contact entre mes joueurs et les votres, je vous prie de croire en mes sentiments les meilleurs que je puisse envers vous.
Bertha Brisephalange.
Dernière édition par Ours le Lun 19 Mai - 17:47, édité 2 fois